Pas de longue
liste ici. Juste 11 livres, mais quels livres ! La crème
de la crème ! Ce sont mes favoris absolus en langue
française -- des livres
qui vont donner un coup d'accélérateur à votre chiffre d'affaires
et vous faire gagner beaucoup de temps et d'argent...
Depuis
20 ans, je suis passionné de copywriting. Ma bibliothèque
comporte certainement près de 150 d'ouvrages sur
le sujet (dont une centaine en anglais). S'il me manque une idée, si je veux améliorer
une lettre, j'ouvre l'un de ces livres, et je trouve toujours
la réponse.
Ces 11 livres vous font entrer
directement (ou indirectement)
dans les coulisses de la publicité-qui-vend. Et pour une
fois, ne s'occupent que de celle-là ! Lisez -les dès
que possible. Cela vous changera des banalités que vous trouvez à profusion dans les "pseudo-méthodes"
plus dangereuses qu'utiles parce que n'étant pas écrites
par des praticiens expérimentés.
Il y a peu de pages dans ces livres
qui ne méritent une lecture attentive. En tant que
Professionnel, Concepteur-rédacteur depuis plus de 15 ans,
je dis "bravo" !
N'hésitez pas à m'écrire lorsque vous les aurez lus.
Vous m'en direz des nouvelles !
"Il
y a plus de trésors dans les livres que dans les coffres
des pirates de l'île aux trésors... et, bien plus, vous pouvez
profiter de ces richesses chaque jour de votre vie"
Walt Disney
L’art d’écrire enseigné en
20 leçons d'Antoine
Albalat -1900
Attention ! perle rare !
Que vous soyez déjà un
copywriter chevronné ou que vous soyez débutant, ce livre vous ramène à
l’essentiel, peut-être même aux origines du copywriting ! Si je devais vous vendre
mon exemplaire pour une somme qui soit
en rapport avec ce qu'il peut vous apporter, vous devriez le payer des millions
!
J’avais 12 ans quand ce livre m'a été donné ! C'est comme si
quelqu'un me remettait un vieux parchemin sur lequel se trouve le secret de la
transmutation du plomb en or, signé Nicolas Flamel.
Par la suite j'ai découvert que l’art d’écrire était la clef de
bien des conquêtes : séduire une femme - un homme, peut se faire par
l’écrit. Décrocher un emploi, convaincre des électeurs, vendre des voitures,
des appartements, des avions, peuvent se faire par l’écriture. L’art d'écrire
vous ouvre toutes les portes. Vous savez gagner la sympathie, vous faire des
amis et des relations, par la seule force de votre écriture.
En voici la préface, écrite le 15 janvier
1899 !
" J'ai lu à peu près tous les Manuels et tous les Cours de
littérature. Ce sont de bons guides; mais aucun n'enseigne techniquement et
pratiquement l'art d'écrire. Je n'ai trouvé dans aucun ouvrage la démonstration
des procédés de style, la décomposition du métier d'écrire, l'analyse
intrinsèque et détaillée de la science des phrases. Les livres de théorie font
admirer l'édifice, mais n'apprennent pas à construire.
Sous le titre de : l'Art d'écrire, le philosophe Condillac a
publié un ouvrage curieux, mais qui n'est qu'une tentative de désarticulation
grammaticale, où il étudie les ressources de la langue sans examiner la
production littéraire. Il existe, sous le même titre, un livre (le M. Antoine
Rondelet, docteur ès lettres, qui n'est qu'une suite de réflexions sur les
diverses opérations de l'esprit, un ensemble de conseils géneraux sur la façon
dont on doit se préparer à l'art d'écrire.
Je ne parle que pour mémoire du livre de M. Eugène Mouton, qui
traite de l'impression et de la correction d'un livre.Viennent ensuite les
Manuels. La démonstration du style n'a pas été faite. C'est une lacune. J'ai
essayé de la combler. Je crois qu'on peut enseigner à avoir du talent, à
trouver des images et de bonnes phrases. Je crois qu'on peut, avec une aptitude
moyenne, arriver à se créer un style.
Démontrer en quoi consiste l'art d'écrire; décomposer les
procédés du style; exposer techniquement l'art de la composition; donner les
moyens d'augmenter et d'étendre ses propres dispositions, c'est-à-dire de
doubler et de tripler son propre talent; en un mot, apprendre à écrire à
quelqu'un qui ne le sait pas, mais qui a ce qu'il faut pour le savoir, tel est
le but de ce livre.
Les jeunes gens, les débutants, les étudiants, les jeunes
filles, les gens du monde, tous ceux qui aiment les lettres et qui ont le goût
du style, attendent impatiemment un ouvrage qui leur apporte la démonstration claire des procédés de l'art d'écrire.
On ne trouvera dans ces pages rien qui rappelle l'ancienne
routine. J'ai rompu avec les préjugés de doctrine, les appréciations timides
et les méthodes consacrées. Qu'on n'y cherche plus les vieilles
classifications, les divisions arbitraires, les exemples surannés.
L'énoncé de la Table des matières indique le plan et le but
de cet ouvrage, qui pourrait s'intituler : La démonstration de l'art d'écrire,
étudié du côté des artistes. On entre ici dans le métier, et l'on n'en sort
pas. Tout le profit d'un Cours de littérature doit consister dans l'étude du
métier et des procédés, deux choses qu'on néglige le plus d'approfondir.
En terminant, je préviens le lecteur que je n'ai apporté
dans l'exposition de ce travail et dans la facture de mes phrases aucune
prétention au style. J'ai tâché d'écrire simplement et sèchement un ouvrage qui
n'est qu'une tentative de démonstration, réservant mon effort d'écrire pour
des ouvrages d'imagination pure ou de critique proprement dite.
Antoine Albalat Paris, 15 janvier 1899.
Les confessions d’un publicitaire de
David Ogilvy - 1964 - Librairie Hachette
Un grand livre qui n'a pas vieilli, alors qu’il est sorti en
1963. L'avez-vous lu ? Faites-le, c’est un bijou. Vous y apprendrez :
Comment trouver des clients
Comment garder ses clients
Comment être un bon client
Comment créer de “grandes campagnes”
Comment écrire des textes efficaces
Comment illustrer annonces et affiches
Comment grimper au sommet de l’arbre
Des exemples d’annonces
Vendu à plus d'un million d'exemplaires, ce livre comporte
les fameux 14 conseils pour améliorer la lecture des textes.
1.Un sous-titre de 2 ou 3 lignes, bien mis en valeur
entre votre titre et votre texte, mettra le lecteur en appétit pour la suite du
festin.
2. Si vous commencez votre texte par une lettrine, vous
augmentez votre taux de lecture de 13 pour cent en moyenne . 3. Limitez votre premier paragraphe à un maximum de 11 mots . 4. Après 15 à 20 lignes de texte, insérez votre premier
intertitre, puis parsemez le reste d'intertitres.
5. Composez votre texte en colonnes ne dépassant pas 40
caractères chacune.
6. Les caractères plus petits que le corps 9 sont difficiles
à lire pour la plupart des gens.
7. Les caractères avec empattement comme celui-ci sont plus
aisés à lire que les caractères antiques.
8. Les lignes creuses augmentent le taux de lecture, sauf à
la fin d'une colonne, où elles incitent trop le lecteur à s'arrêter là.
9. Rompez la monotonie d'un long texte en composant les
paragraphes-clefs en gras ou en italiques.
10.Insérez par-ci et par-là de petites illustrations.
11.Aidez le lecteur à attaquer vos paragraphes au moyen de
flèches, de pastilles, d'astérisques ou de notes marginales.
12.Si vous avez à exposer une suite de faits indépendants
les uns des autres, ne cherchez pas à les relier de façon artificielle et
encombrante. Numérotez-les, tout simplement, comme je le fais ici.
13.Ne composez jamais vos textes en noir au blanc, ni en
noir sur fond gris ou de couleur.
14.Si vous espacez vos paragraphes, vous en accroissez le
taux de lecture de12 % en moyenne.
15.Plus vous changez de caractères à l'intérieur de votre
titre, moins de gens le liront.
16.Composez votre titre, et en fait toute votre annonce, en bas
de casse (minuscules). LES CAPITALES SONT BEAUCOUP PLUS DIFFICILES A LIRE,
PROBABLEMENT PARCE QUE NOUS APPRENONS A LIRE EN BAS DE CASSE."
Cet ouvrage est
malheureusement épuisé !
La Publicité Scientifique de
Claude C. Hopkins -
1988 - Editions Idegraf
Cet ouvrage, épuisé a été réédité en francais en 1988.
Voici ce que Gary Halbert, l'une des plus célèbres figures du Marketing Direct,
en dit :
«Lisez et relisez le livre le plus important qui ait
jamais été écrit sur la publicité - LA PUBLICITÉ SCIENTIFIQUE – Et, faites-moi confiance sur ce point précis : vous ne
devrez lire aucun autre livre sur le sujet avant d'avoir lu la Publicité
Scientifique au moins 2 fois, ou, mieux encore, 3 ou 4 fois. En fait, David
Ogilvy a une si haute opinion de ce livre qu'il dit que personne ne devrait
avoir le droit de faire quoi que ce soit dans la publicité avant de l'avoir lu
au moins sept fois.»
Voici quelques extraits de ce livre :
"Les temps sont venus où la publicité a accédé au
rang de science. Elle s'appuie sur des principes établis dont les résultats se
vérifient avec une faible marge d'erreur. L'analyse a permis de comprendre les
relations de cause à effet."
"La publicité, c'est de la vente. Ses principes sont
ceux de la vente. Les réussites, comme les échecs, dans ces deux domaines, sont
imputables aux mêmes causes. C'est pourquoi toutes les questions sur la
publicité devraient trouver réponse dans le registre de la vente."
"N'oubliez jamais que les gens à qui vous vendez
sont aussi égoïstes que vous. Ils se moquent complètement de vos intérêts ou
de vos bénéfices. Ce qu'ils cherchent, c'est qu'on leur rende service.
L'ignorance de ce fait est source d'erreurs très courantes et très coûteuses
dans la publicité."
"Les platitudes ou les généralités n'ont jamais fait
recette. Elles ne produisent aucun effet. Prétendre que l'on est "Le
meilleur au monde" ou que l'on pratique "Les plus bas prix",
n'étonne personne. Pire, l'emploi de tels superlatifs ne peut que faire du
tort. Ils suggèrent un certain relâchement de l'expression, une tendance à
l'exagération, une négligence de la vérité."
Du simple bon sens ? Oui, mais un bon sens qui a trop
souvent tendance à être oublié, et des techniques qui, années après années, ont
fait leurs preuves. Un livre de base !
La publicité selon Ogilvy
de David Ogilvy -1984 - Dunod
Il n'existe que fort peu de livres pouvant être
qualifiés de classiques dès leur parution. La Publicité selon Ogilvy est l'un
de ceuxlà.
Dans ce livre, David Ogilvy stigmatise les
"exhibitionnistes de la pub" qui considèrent leur métier comme un
art: "Ne me dites pas que ma publicité est créative, je veux seulement
que vous la trouviez si convaincante que vous achetiez le produit."
Cette approche sévère semble "payer" l'agence de
publicité que David Ogilvy a fondée avec un capital de 6000 dollars et une
clientèle inexistante est maintenant l'une des plus importantes du monde et
compte 1600 clients. Illustré de 185 exemples de photos et films publicitaires
des télévisions du monde entier, ce livre révèle l'expérience d'Ogilvy dans le
domaine de la publicité.
L'auteur, avec autant d'esprit que de savoir-faire, explique
clairement quelles sont les techniques publicitaires qui font vendre et quelles
sont celles qui ne font pas vendre !
Tour à tour cuisinier à l'hôtel Majestic de Paris, vendeur
de cuisinières en Écosse, directeur de l'Institut Gallup à Princeton, cultivateur
en Pennsylvanie, officier dans le British Intelligence Service (durant la
Seconde Guerre mondiale), David Ogilvy s'installe à New York en 1949 et y fonde
Ogilvy & Mather. Grâce à des campagnes de publicité pour des clients tels
que Rolls-Royce, Schweppes, et les chemises Hathaway, il établit rapidement sa
réputation et fait de son agence l'une des plus importantes du monde.
Son premier livre, "Les Confessions d'un
publicitaire" (voir plus haut) fut un best-seller mondial et fut traduit en français,
allemand, espagnol, suédois, norvégien, finlandais, danois, hollandais, grec,
italien et japonais. La réussite de David Ogilvy est légendaire dans le monde de
la publicité. Parti de rien, il a fondé à 38 ans une agence - Ogilvy
& Mather - qui s'est rapidement hissée au quatrième rang mondial avec 141
bureaux dans 40 pays.
Ayant renouvelé les techniques de la publicité, l'auteur des
Confessions d'un publicitaire" est aujourd'hui considéré par tous comme un
maître : dans ce livre, il vous révèle ses secrets et explique comment sont
réalisées les publicités qui marchent... Les gouvernements, des entreprises de
toutes tailles, un petit Hôtel et même un chien perdu ont bénéficié de son
savoir-faire légendaire !
Ecrit avec un humour tout britannique, insolent et précis,
ce superbe ouvrage illustré de très nombreux exemples de publicités en noir ou
en couleurs est aussi provocant que son auteur. Il devrait séduire non
seulement les professionnels de la communication, mais tous ceux qui aiment
comprendre le "pourquoi et le comment" de leur environnement.
Un dernier mot : ce livre n'est pas fait pour les lecteurs qui croient déjà
tout savoir de la publicité. Il est destiné aux jeunes loups et aux vieux
crabes qui sont toujours à la recherche de moyens pour améliorer leurs scores
face à la caisse enregistreuse. David Ogilvy ne vous parle que des aspects de
la publicité qu'il a personnellement expérimentés.
Quand la publicité est
aussi un roman de
Pierre Lemonnier - 1985 - Hachette
Enfin un livre sur la publicité qui se lit comme un roman
!
L'auteur : Pierre Lemonnier, Fondateur de l'Agence Impact. Célèbre pour ses campagnes Carrefour, Épéda, George
Killian, Ferrari.
Le sujet : La publicité "saisie" sous un angle
jamais vu. Des coups de coeur. Des passions. Des anecdotes irrésistibles. Des
rencontres insolites. Des rebondissements à couper le souffle !
Des réussites spectaculaires. Une conception totalement
originale de la publicité. Une compréhension pénétrante des sensibilités et des
besoins des Français.
Le style : Étincelant. Décapant. Hyper fluide. Tonique.
Conseil : N'attaquez pas ce livre après 22 heures si vous
avez un avion à prendre tôt le lendemain !
L’efficacité en marketing direct de
Régis hauser - 1991 - Editions d'organisation
Cet excellent livre de Régis HAUSER est le complément de «
Concevoir et rédiger des mailings efficaces», l'un des rares ouvrages français
sur le marketing direct à avoir été traduit à l'étranger !
Il fourmille d'exemples et, photos à l'appui, décrit
quelques-unes des plus étonnantes (et des plus efficaces) actions de marketing
direct. Il vous explique pourquoi certaines approches fonctionnent, alors que
d'autres échouent. Régis Hauser vous parle avec franchise du pouvoir
manipulateur des techniques de stimulation commerciale et vous en rappelle
également les limites.
De cas concrets en anecdotes amusantes, Régis Hauser
vous fait comprendre les rouages
intimes du marketing direct. Il dissèque pour vous le pouvoir déclencheur des
mots et des visuels, décrit l'importance des fichiers et vous révèle le fabuleux
avenir du "marketing affinitaire", c'est-à-dire le marketing sur bases de
données.
"L'efficacité en marketing direct : la vente par la
persuasion" s'adresse à tous ceux qui désirent vendre par correspondance, créer
du trafic sur un point de vente, isoler de nouveaux gisements de clients,
repérer des marchés de substitution, susciter des manifestations d'intérêt pour
des produits, des idées, des services. Bref, c'est un véritable mode d'emploi
destiné aux chefs d'entreprise, aux hommes de communication et aux responsables
qui veulent mesurer et optimiser leurs investissements publicitaires en
recherchant le rendement immédiat sur les actions commerciales qu'ils mènent.
Ecrit par un professionnel passionné - mais lucide - cet
ouvrage offre une
chance d'imaginer l'avenir de cette jeune discipline qu'on appelle déjà "la
publicité du 21e siècle" : le marketing direct !
Le Guide du Marketing Direct de
Jean
louis Ferry - Les éditions d'organisation
J’avais 18 ans quand j’ai lu pour la première fois ce Guide du Marketing Direct ! Construit de façon très originale, c’est un livre de
praticien pour des praticiens !
Ce guide n'a pas la prétention, comme la plupart
des travaux universitaires, d'être la somme absolue sur la matière.Ce n'est pas non plus le fruit d'abondantes lectures
reflétées par une bibliographie exhaustive.
Il soumet le marketing direct à un faisceau d'éclairages
nombreux et variés qui permettent peu à peu de cerner, de borner et de
comprendre les multiples aspects de cette technique complexe aujourd'hui en
totale ébullition
Les exemples, les conseils et les illustrations abondent. Et
lorsqu'il estime insuffisants ses propres projecteurs, Jean Louis FERRY n'hésite pas
à donner la parole à d'autres spécialistes qui enrichissent l'ouvrage de leur
propre expérience.
Peu à peu le puzzle prend forme. L'ensemble, malgré cette
approche "patchwork", apparaît finalement totalement limpide et
cohérent.
Non seulement, j’ai compris à l’époque ce qu'était le marketing
direct mais j’étais - presque - en mesure de le mettre immédiatement en
application !
Le marketing direct :
Une affaire de bon sens de
Drayton Bird - 1991
Le livre de Drayton Bird, écrit avec vivacité et humour,
s'est déjà vendu à plus de 500.000 exemplaires à travers le monde : il fait
autorité en Europe comme aux Etats-Unis et en Asie.
J’ai sauté sur l’édition française quand ce ouvrage fut
traduit ! il fourmille de cas concrets et d'exemples venant de tous les pays...
y compris de France. Vous y découvrirez pourquoi le marketing direct s'intègre
tout naturellement dans la stratégie de votre entreprise, et comment vous pouvez
en
exploiter toutes ses ressources à votre profit.
A l'opposé du manuel rivé sur l'exécution technique, ce
guide de travail met en valeur la complémentarité stratégique du marketing
direct avec les autres disciplines du marketing et de la communication :
planning stratégique, publicité, promotion, relations publiques, réseaux de
distribution, forces de vente...
Il montre comment les entreprises peuvent aujourd'hui faire
passer dans les faits leur objectif toujours proclamé mais bien peu mis en
oeuvre sur le terrain : passer du produit-roi au client-roi.
Bâtir une relation mutuellement fidèle et durable avec
chaque client procure un avantage décisif sur la concurrence : serez-vous de
ceux qui se tailleront la part du lion?
Drayton Bird est
ViceChairman Worldwide et Exécutive Créative Director d'Ogilvy & Mather
Direct Worldwide, le premier réseau européen et mondial d'agences de marketing
direct (1850 collaborateurs et 60 agences dans 32 pays). Ses fonctions l'amènent chaque année dans plus de 30 pays
pour travailler sur le terrain avec annonceurs et collaborateurs, analyser les
stratégies et les créations, animer séminaires de formation interne (sa
passion), symposiums... et mettre la main à la pâte.
La
VPC à la portée de tous de
Serge Valentin - 1999 - Editions d'organisation
Aujourd'hui, la plupart des produits et services peuvent se
vendre par correspondance. Pour la PME qui veut diversifier son mode de
distribution et toucher directement ses clients, pour le petit producteur,
l'artisan ou le commerçant qui souhaite adopter une ampleur nationale à moindre
coût, la VPC représente un formidable débouché.
C'est pour cela d'ailleurs, qu'année après année, le marché
de la VPC en France se développe. Une offre plus large, des produits plus
authentiques, une relation clientèle plus « consistante» et plus sincère...
Voilà de quoi attirer le consommateur du troisième millénaire.
Que votre ambition soit de lancer votre propre activité ou
de créer un département VPC dans une entreprise existante, vous pouvez démarrer
avec des moyens limités. Mais pour réussir, il faut respecter certaines règles
qui ne reposent pas sur le hasard. Serge Valentin révèle dans ce livre les
techniques rigoureuses et les conseils d'un professionnel qui a à son actif
la
réalisation de plus de 500 mailings dont certains ont été adressés à plus de 10
millions d'exemplaires. Il n'en tire
aucune gloire. et ressens tout au plus la satisfaction de l'artisan qui, après
une journée de labeur, est heureux d'avoir bien fait son travail. Le reste
n'est qu'une affaire d'expérience
J’avais 21 ans quand j’ai rencontré pour la première fois
Serge Valentin. C’est un homme étonnant et très intelligent que j'apprécie beaucoup.
Il compte aujourd’hui plus de 20 ans
d'expérience dans la VPC et le marketing direct. Comme il le dit très justement, la VPC
est une affaire de passion. Trempez-y
les lèvres, comme si vous dégustiez le cru le plus subtil et le plus noble.
Bientôt, vous ne pourrez plus vous en passer !
Certes, comme dans toute aventure
passionnée, il existe un certain nombre de pièges, de fils invisibles dans
lesquels vous risquez de vous prendre les pieds si vous ne commencez pas par
faire preuve d'humilité et de modestie, si vous n'en faites qu'à votre tête
(chronique d'une catastrophe annoncée...) et si vous n'écoutez pas, à défaut
de les suivre, les quelques conseils que vous donneront avec plaisir les
professionnels qui se sont déjà pris les pieds dans ces fameux fils invisibles.
Ce dix, quinze ou vingt ans avant vous !
Je vous en prie, ne mettez en doute aucun des conseils que
Serge Valentin vous donne dans ce livre. Car chacun de ses conseils n'est que
le fruit de tests et d'opérations réalisés en grandeur nature :
"Surtout, n'improvisez pas. Et ne
suivez jamais les conseils de ceux qui n'y connaissent rien. Je veux ici parler
de ceux qui n'ont jamais vraiment pratiqué le marketing direct ou la VPC.
Surtout les agences de publicité généralistes pour lesquelles les mots "
marketing direct " se limitent à un beau titre sur une plaquette. Les cas
de " plantages " les plus magistraux que j'ai pu voir ont toujours
été le fait d'agences de publicité généralistes. Et dans chacun de ces cas, si
les chefs d'entreprise avaient simplement écouté leur propre bon sens, ils
auraient limité la casse de façon significative" Ce n'est pas moi qui
le dit c'est Serge Valentin !
Que votre ambition soit de créer votre propre petite
activité en " home business ", de créer un département VPC dans une
entreprise existante, ou de construire une importante société de VPC, je vous
suggère maintenant de lire son livre de A à Z. Un week-end pluvieux y suffira amplement.
Ensuite, vous pourrez toujours relire tel ou tel chapitre, au fur et à mesure
Le
dictionnaire des couleurs de notre temps de
Michel Pastoureau - 1992
Sachez décrypter les "couleurs du temps"
L’argent n'a pas d'odeur, mais a-t-il une couleur ? Oui, et
même plusieurs, affirme Michel Pastoureau, dans l'inattendu Dictionnaire des
couleurs de notre temps.
Longtemps confondu avec le métal, l'argent était
associé à l'argenté et au doré. Aujourd'hui, il l'est au vert, la couleur du
dollar. Mais pourquoi le vert ? Parce qu'il est, depuis le Moyen Age, couleur
de la fortune, la déesse des caprices du destin, de la chance ou de la
malchance. Par extension, le vert devient, à la Renaissance, le symbole des
joueurs : les tapis de jeu, l'argent qu'on y gagne puis, par assimilation, la
banque et la finance (parler de « Banque verte » serait-il un pléonasme ?).
Avec la monnaie électronique, l'argent va-t-il perdre sa couleur ? C'est peu
probable, car l'électronique est également associée au vert, symbole de
rapidité, de fluidité et de mutation. Mais, là encore, pourquoi ? Parce qu'elle
est, chimiquement et symboliquement, la plus instable des couleurs.
Les goûts et les couleurs ne se discuteraient pas. Michel
Pastoureau s'est heureusement affranchi de cette maxime. Avec
ce Dictionnaire des couleurs de notre temps, il vous offre une centaine d'entrées
sur les couleurs, leur signification, leur histoire et leurs usages : du jaune
au feutre, du noir au délavé, du caméléon au drapeau français, du Code de la
route à la moutarde...
Quelles sont aujourd'hui nos couleurs préférées ? Celles
que nous n'aimons pas ? Celles qui nous rendent malades ? Celles qui nous
apaisent ? Comment la couleur peutelle être thérapeutique ? polluante ?
vulgaire ?
En tentant de répondre à ces questions (et à beaucoup
d'autres), ce dictionnaire, à la fois savant et débridé, met en valeur la place
immense occupée par la couleur dans nos sociétés contemporaines. Il souligne en
outre combien celle-ci est un phénomène culturel, étroitement culturel, rebelle
à toute généralisation, sinon à tout discours.
Un livre indispensable
à tout homme de marketing direct ! Lisez-le
! Et vous comprendrez pourquoi...
Les 22 lois
du marketing par AI Ries et Jack Trout
- Dunod
Le marketing démystifié !
Un livre intelligent et agréable à lire. Un must
!
Les deux auteurs du Marketing guerrier, patrons de l'agence
de publicité américaine Trout & Ries, ont tiré, de leurs observations des
entreprises américaines, 22 principes à ne pas transgresser si l'on veut éviter
de commettre les bévues qui ont coûté cher à des grands comme IBM ou General
Motors. Voici les plus percutants, adaptés à la réalité française.
La loi du premier occupant. Le premier arrivé possède
un avantage comparatif énorme, même s'il n'a pas le meilleur produit, qu'il
s'appelle Hertz (premier loueur de voitures), Heineken (première bière importée
aux EtatsUnis) ou Renault (inventeur du monospace).
La loi de la catégorie. Pour contrer la loi N°1, créez
une nouvelle catégorie, comme Michelob, qui a concurrencé Heineken en se
plaçant sur le terrain vierge des bières américaines de luxe. Exemple français
: la laiterie Triballat invente la crème brûlée et ainsi n'attaque pas Danone
de front.
La loi de l'esprit. La manière dont vous êtes perçu par
le client importe plus que votre savoir-faire. Avec son image de fabricant de
photocopieuses, Ranx Xerox n'a jamais pu s’imposer sur le marché informatique
malgré 2 milliards de dollars et 25 ans d'efforts. A l'inverse, Apple a réussi
avec une mise de 91000 dollars, car rien n'est plus facile à mémoriser qu'une
pomme.
La loi de la convergence. Attribuez-vous un mot dans
l'esprit du consommateur. Exemple : «ordinateur» pour IBM, «overnight» («24
heures chrono») pour Federal Express et «sécurité» pour Volvo.
La loi de l'exclusivité, corollaire de la précédente.
Difficile pour BMW de voler à Volvo le thème de la sécurité. Burger King s'est
cassé les dents en essayant de montrer au consommateur qu'il était plus
«rapide» que McDonald's, l'inventeur du fast-food. Pourtant, les études de
marché montraient que les consommateurs plébiscitaient la rapidité.
La loi de l'argent. BA, le yaourt au bifidus, créé par
une PME, n'a pas tenu tête à Danone et à Chambourcy. En revanche, Georgette
Mosbacher, après avoir épousé le secrétaire d'Etat américain au Commerce, n'a
pas eu de problème pour «lever» 31,5 millions de dollars et acheter une
entreprise suisse de cosmétiques.
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